Patrik Bracke profite quotidiennement de son Arocs 3240 à quatre essieux

Economie et logistique

Deux éléments polyvalents.

Patrik Bracke a déjà exercé de nombreux jobs, mais l’ambiance de l’univers de la construction l’a particulièrement conquis : au volant d’un Arocs 3240 à quatre essieux, il livre du béton sur des chantiers de la région d’Anvers et de Campine pour le compte de l’entreprise Kerkstoel.


Positionné sous une centrale à béton, l’Arocs blanc aux inscriptions noires et orange de Patrik Bracke attend un nouveau chargement de béton frais. Les camions de Kerkstoel sont bien connus dans les rues de la région campinoise, car ils livrent depuis toujours du béton sur tous types de chantiers. Cela fait cinq ans que Patrik Bracke, 58 ans, roule pour Kerkstoel. Au cours de sa carrière, il a travaillé dans les secteurs les plus divers, mais c’est chez Kerkstoel et dans son Arocs qu’il a vraiment trouvé sa place.



« Une ambiance particulière. »

Lorsqu’il avait 15 ans, Patrik a travaillé dans une forge avant  d’embrasser la carrière de soldat . Mais c’est pourtant dans le secteur du bâtiment qu’il a passé  la mejeure partie de sa vie. « J’y ai pris goût au sein d’une entreprise de construction de vérandas », déclare Patrik, en conduisant son Arocs dans le trafic de l’heure de pointe matinale autour de Grobbendonk. C’est lorsque son employeur a fait faillite il y a 33 ans qu’il a fait ses premiers pas dans le domaine du transport de béton. « Cinq ans plus tard, je me suis lancé dans le transport international. Mais j’ai rapidement compris que l’ambiance particulière du secteur de la construction me manquait. Je me suis donc remis en quête d’un nouveau travail », déclare Patrik, qui a successivement placé des portes sectionnelles, travaillé comme plombier et officié dans le secteur du verre. « Soulever et déplacer le verre est peu à peu devenu trop difficile pour moi et j’ai donc à nouveau changé de travail », explique Patrik en souriant.


Chauffeur de remplacement, pour la toute première fois.

Après un an passé au service d’un employeur qui  travaillait exclusivement pour Kerkstoel, il a trouvé ce qu’il cherchait réellement voici cinq ans : « J’étais familiarisé avec le travail et j’ai pu débuter ici comme chauffeur de remplacement. Mon travail consistait à intervenir pour des collègues qui étaient en vacances, ou absents pour cause de maladie. J’ai certes dû me réhabituer à conduire un tracteur avec malaxeur, car je ne l’avais plus fait depuis 25 ans. » Mais l’adaptation s’est très bien déroulée, de sorte que Patrik est devenu chauffeur régulier et a reçu son propre camion. Aujourd’hui, c’est au volant d’un Arocs 3240 à quatre essieux qu’il prend place chaque jour au petit matin.

« Le gros avantage, c’est que l’on travaille toujours dans le voisinage. C’est une spécificité du béton, qui est un produit que l’on ne peut pas transporter indéfiniment. C’est pourquoi après deux ans et demi, mon camion n’affiche que 82 000 km au compteur », déclare Patrik.


Cela ne veut pas dire que son Arocs ne doit pas travailler dur, car lorsque Patrik démarre le moteur au matin, celui-ci tourne presque toute la journée sans interruption. « Pas question d’arrêter le malaxeur », rappelle notre chauffeur de 58 ans, qui a conduit tous les camions de l’entreprise lorsqu’il était chauffeur de remplacement. Mais pour lui, son Arocs est le « champion » : « Sa suspension est excellente pour un véhicule tout-terrain et il me procure un confort remarquable. Pas étonnant que je me sente vraiment bien ici. »


Fotos: Dirk Willemen

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