Frankie Ostyn se rend pour Stekelorum avec son Actros 1951

Reportage

Highway Hilton.

Depuis le début de l’année, Frankie Ostyn roule à bord d’un nouvel Actros 1951, tant sur les étroites routes de campagne de Flandre-Occidentale que dans les collines de Bretagne. Il transporte surtout des légumes.

Le moteur de 375 kW du nouvel Actros 1951 de la société de transport Stekelorum s’avère parfait pour tous les types de route.


Frankie Ostyn est un chauffeur très expérimenté. Cela fait maintenant neuf ans qu’il travaille pour l’entreprise de transport Stekelorum de Vleteren, qui est essentiellement spécialisée dans le transport de légumes. Auparavant, il est resté 18 ans dans une entreprise active dans le même secteur. « Charger en rase campagne ne me fait plus peur depuis longtemps et je ne suis plus stressé lorsque la récolte des légumes bat son plein », confie le chauffeur de 46 ans.

La veille, Frankie est rentré de France avec un chargement de déchets de papier tracté par son nouvel Actros 1851. « Comme je suis arrivé à destination assez tard hier soir, nous sommes partis un peu plus tard que prévu aujourd’hui », déclare-t-il. Aujourd’hui, il se rend chez Stora Enso, à Langerbrugge. Ce fabricant de papier s’est installé dans la zone portuaire de Gand. « C’est un client fixe de Stekelorum. Cela peut peut-être sembler étrange qu’un spécialiste du transport de légumes décharge dans une fabrique de papier, mais cela fait partie de notre travail », déclare Frankie en empruntant la E17 à Courtrai en direction de Gand.



Stekelorum roule essentiellement avec des semi-remorques walking floor. L’entreprise est ainsi en mesure de charger des légumes sous forme de pulvérulents alimentaires, des produits sur palettes ou des rouleaux de papier. « Les déchets de papier que j’ai chargés doivent être recyclés chez Stora Enso », déclare Frankie à l’approche d’un embouteillage à Zwijnaarde. Le radioguidage annonce que deux voies de circulation sont barrées. « Cela chamboule déjà tout mon planning », déclare-t-il, légèrement énervé. C’est que la journée de Frankie s’annonce stressante, car le déchargement des déchets de papier va de pair avec un contrôle du chargement. La fabrique de papier doit savoir si les déchets respectent tous les critères pour pouvoir les transformer en rouleaux de papier de haute qualité.

Il prend ensuite la route de Well, dans la région de Venlo pour charger du céleri auprès d’une entreprise de transformation de légumes. « Avant de pouvoir charger là-bas, je dois passer par la station de lavage à Venlo car ce sont tout de même des denrées alimentaires que je dois transporter », déclare Frankie. « Heureusement, mon Actros est un camion apaisant. C’est appréciable vu les conditions stressantes dans lesquelles nous sommes amenés à travailler. Mercedes-Benz a visiblement tenu compte des besoins du chauffeur pour concevoir le nouvel Actros. C’est perceptible à tous les niveaux. Il est spacieux, confortable, offre des possibilités de rangement plus que suffisantes et se conduit très facilement et confortablement grâce à la boîte de vitesses automatique Mercedes PowerShift 3. »

Après avoir déchargé à Gand, il prend la route des Pays-Bas, heureusement sans embouteillage. Il en profite pour faire l’éloge du concessionnaire Mercedes-Benz Vereenooghe : « Le vendeur et les techniciens écoutent les demandes des chauffeurs et y répondent de manière juste, de sorte que nous pouvons exploiter pleinement le potentiel remarquable de l’Actros », se réjouit Frankie.



Les 375 kW de son Actros 1951 impressionnent sur les routes plates des Pays-Bas. La puissance et la souplesse du moteur sont immédiatement perceptibles. Mais c’est surtout lorsqu’il sillonne les routes vallonnées de Bretagne à pleine charge que Frankie peut exploiter au mieux ces qualités : « Il développe toute sa puissance de manière remarquable et le moteur demeure particulièrement économique, même dans des conditions difficiles. C’est remarquable que Mercedes-Benz soit ainsi parvenu à concevoir un véhicule convaincant tant pour l’employeur que pour le chauffeur : l’employeur en raison de sa faible consommation et de ses frais d’entretien réduits et le chauffeur en raison du confort de travail et de vie exemplaire qu’il procure », déclare Frankie en regardant les céleris rejoindre un à un la semi-remorque via le système de chargement.

Si tout va bien, Frankie devrait être à l’heure à la maison et pourra dormir deux nuits de suite chez lui avant de reprendre la route de la Bretagne. « C’est toujours mieux de pouvoir dormir à la maison, même si passer la nuit dans le nouvel Actros, c’est un peu comme séjourner dans un Highway Hilton, en raison de son lit large et confortable. Et ça, c’est pas mal non plus. »

Photos : Dirk Willemen

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