Vaporisation d’azote : l’Arocs 1942 est idéal pour AQ

« Mon travail est très varié. Je m’occupe principalement d’azote et de dégazage, et dans ce cadre, j’exécute la procédure de A à Z, » explique Ryan Frens. « Je calcule les prix, je négocie avec les clients et je prends les mesures préparatoires nécessaires à l’exécution des travaux, et ce dans tous les ports d’Europe. J’effectue donc énormément de kilomètres chaque année. Pour la partie administrative de mon travail, j’utilise le Mercedes-Benz Citan de mon employeur, mais pour la partie exploitation, c’est bien sûr mon nouvel Arocs qui m’accompagne. »

Ryan a 31 ans et est employé par la société AQ depuis un an et demi. Il se souvient de son début de carrière : « J’ai commencé comme chauffeur à l’âge de 20 ans. J’étais alors employé dans la distribution, et je passais mes journées en camion ». Ce n’est qu’avec son deuxième employeur qu’il a abordé le secteur dans lequel il travaille aujourd’hui. « J’ai débuté chez Linde Gas. J’y travaillais comme chauffeur mais on me confiait également d’autres tâches. Je m’occupais de tout ce qui était lié à la vaporisation d’azote. Grâce à ce domaine d’activité, j’ai sillonné toute l’Europe. Mon rayon d’action couvrait principalement les pays scandinaves, la Grande-Bretagne et l’Allemagne », précise Ryan. L’expérience qu’il y a acquise lui sert encore chaque jour. D’ailleurs, l’installation de dégazage d’AQ a été développée en collaboration avec Linde Gas.

Pendant ses années chez Linde Gas, Ryan utilisait déjà la génération de camions qui a précédé l’Actros, de sorte que les camions de la marque à l’étoile lui étaient déjà familiers. Il apprécie particulièrement l’Arocs pour sa bonne tenue de route. « De plus, il a un rayon de braquage très faible, » ajoute Ryan.

AQ a choisi l’Arocs 1942 pour son châssis plus résistant que celui de l’Actros. C’est un aspect non négligeable pour un camion équipé d’une grue Atlas. Autre avantage de l’Arocs : son niveau de sécurité élevé. « Le rétroviseur pour l’angle mort fait partie de ces points positifs. On peut y voir une zone beaucoup plus grande qu’avec les rétroviseurs de ce type installés sur les autres camions. »

Ryan Frens nous explique ensuite les grandes lignes de son travail : « En réunion avec des responsables d’entreprise, nous cherchons ensemble des solutions à leurs problèmes. Quelques jours plus tard, en tenue de sécurité complète, je rejoins les techniciens qui travaillent au quotidien avec l’installation que je dois dégazer. Le dégazage se fait par refroidissement à l’azote liquide. Ce processus permet de condenser un flux de gaz par l’effet du froid. Nous pouvons travailler jusqu’à douze heures d’affilée. C’est pourquoi nous travaillons le plus souvent par équipe de deux. »