Transport de fruits et légumes : Michel Peeters et son Actros
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Michel Peeters transporte tous les jours des fruits et légumes avec son Actros 1948. Sa destination est toujours la même : le sud de l’Allemagne.
L’effervescence règne dans la halle de Gebroeders Michiels. Des machines d’entrepôt vont et viennent dans tous les sens. Mais les conducteurs de camions qui utilisent ces machines savent très bien ce qu’ils font. Michel Peeters, âgé de 51 ans, est l’un d’entre eux. Cela fait 18 ans qu’il travaille dans le commerce des fruits et légumes dans la région de Malines. « Dès que je sais quels légumes doivent être chargés dans mon camion, je me mets au travail », déclare-t-il.
Qu’il s’agisse de tomates, de concombres, de laitues ou de fraises, ce que Michel charge dans son camion doit arriver le soir même à destination. Aujourd’hui, il attend un chargement de carottes. « Il faut parfois un certain temps pour que les fruits et légumes vendus aux enchères à Hoogstraten, Roulers et Wavre-Sainte-Catherine arrivent ici », explique Michel. Soudain, l’information lui parvient que les carottes sont arrivées ! À présent, tout doit aller très vite. Un trajet de plusieurs centaines de kilomètres l’attend.
Confortablement vers le sud de l’Allemagne.
Cela fait 18 ans que le chauffeur de Gebroeders Michiels conduit des camions Mercedes-Benz. Actuellement, il roule dans un Actros 1948. Il a observé l’évolution de la marque à l’étoile au cours des quinze dernières années : « Mercedes-Benz est une des meilleures marques en matière de confort. Mon camion actuel en est la preuve. Il est très silencieux et, en tant que chauffeur, je dispose de beaucoup d’espace de vie et de rangement. Selon moi, le lit mérite une mention spéciale. L’Actros est aussi inégalé sur le plan technique. La boîte de vitesses automatique PowerShift et le Predictive Powertrain Control sont formidables pour la conduite », reconnaît Michel.
Wurtzbourg nous voilà...
Après avoir emballé les caisses de carottes dans du plastique, Michel les charge dans le camion. Le chargement y est une nouvelle fois fixé. « La sécurité est la priorité absolue ; nous ne pouvons pas nous permettre le moindre retard. Nous devons être à Wurtzbourg avant ce soir. Ensuite, nous devrons poursuivre en direction de Bamberg et de Nuremberg », explique Michel en démarrant.
Photos : Dirk Willemen
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