Mercedes-Benz Custom Tailored Trucks: Entretien avec Hans Schallmoser

Pour commencer, est-ce que tu peux parler de toi et de ton travail ?

Schallmoser : Je m’appelle Hans Schallmoser et je travaille dans une entreprise de traitement des déchets. L’entreprise a été créée en 1953 et depuis nous sommes présents très régionalement à Unterhaching près de Munich et dans les communes voisines. Moi-même, je suis le dirigeant de cette entreprise familiale qui emploie 25 collaborateurs. Nous sommes une petite entreprise dans notre segment mais nous proposons un vaste éventail de services, de la mise à disposition de containers jusqu’à l’enlèvement des ordures en passant par la collecte des déchets et l’exploitation d’une déchetterie.

Qui a fondé l’entreprise ?

Schallmoser : C’était mon grand-père, puis mon père l’a bien-sûr reprise et c’est maintenant moi qui la gère. Au début ce n’était pas encore une entreprise de traitement des déchets. Mon grand-père a tout d’abord créé une entreprise pour transporter des biens agricoles comme par exemple le lait ou le bois. Mais quand l’enlèvement des déchets a été introduit dans notre commune, mon grand-père a obtenu le marché. Nous avons commencé avec des calèches et puis nous avons acheté notre premier camion d’occasion.

Est-ce que tu as des enfants et est-ce qu’ils voudraient reprendre l’entreprise ?

Schallmoser : J’ai un fils de 10 ans. Mais on verra s’il va reprendre l’entreprise. Déjà maintenant, il est déjà un grand fan de camions mais nous allons lui laisser le choix.

Quelle taille représente ta flotte et quels véhicules as-tu ?

Schallmoser : Aujourd’hui, nos véhicules sont exclusivement des camions Mercedes. C’est aussi dû au fait que nous ayons toujours eu le virus Mercedes-Benz. Notre flotte compte aujourd’hui 12 véhicules.

Quel est ton camion préféré ?

Schallmoser : Chez moi, l’Unimog a vraiment la cote. Nous en avons un nouveau qui est utilisé comme camion de déneigement, mais aussi un ancien. Mais j’ai encore plein d’autres favoris comme par exemple mon MB Trac que je suis venu chercher à Gaggenau en Allemagne quand j’étais adolescent. Le trajet retour a duré 16 heures !