Puissance du tracteur et message du cœur : l’Actros 1851 de Marcel Witsch

Reportage

Ruhrpott-Edition.

Marcel Witsch est un garçon de la Ruhr. La décoration de son train routier témoigne de son attachement à cette grande région industrielle.


Essen, Hafenstrasse, mardi 7h30. Le célèbre bassin industriel et minier de la Ruhr est déjà réveillé depuis des heures. La Hafenstrasse (rue du Port) au nord de la ville est connue dans la région. C’est là où les footballers de l’équipe RWE (Rot-Weiss-Essen, soit « les rouges et blanc d’Essen ») jouent leurs matchs à domicile. Le champion du monde 1954 Helmut Rahn jouait déjà dans le « Stade de la Hafenstrasse ». La grande époque de ce club historique remonte à de nombreuses années, mais les gens continuent d’arborer fièrement l’autocollant sur leur voiture. C’est comme ça ici.

Plus loin sur la rue vers le nord, là où le canal Rhin-Hern passe sous l’A 42, ça bosse.



Marcel Witsch grimpe dans la cabine et ferme rapidement la porte derrière lui. Le vent pourrait faire rentrer la poussière de sable et de gravier des box dix mètres plus loin. « Si on peut éviter », dit Marcel qui a reçu l’Actros 1851, il y a deux mois à peine. Le compteur de vitesse indique 16.700 km. Marcel travaille comme chauffeur depuis six ans. Il a lui-même pris sa formation en main. « À l’époque, je suis allé à l’auto-école et j’ai demandé en combien de temps je pourrais obtenir mon permis de conduire. Je voulais être un conducteur à tout prix ». Il y a quatre ans, il a commencé à travailler pour A. Sauerbaum Baustoffe und Transporte GmbH. L’entreprise est fortement représentée dans la Ruhr avec ses 52 camions.

Les camions se rendent dans les carrières, les centrales à béton et les gravières, ainsi que sur les chantiers de construction partout dans la région.


Les véhicules sont également sur la route pour le trafic longue distance. « Je trouve que nous avons ici un bon mélange », dit le chauffeur poids lourd de 32 ans en regardant les papiers de fret. Une ou deux fois par semaine, il dort dans le camion. Les autres soirs, il est à la maison. Ces dernières semaines, il a pu à nouveau se rendre compte à quel point il aime ce travail, même pour de la longue distance. Il peut par exemple effectuer une livraison en Espagne. En moyenne, les camions de la flotte Sauerbaum parcourent 130.000 km par an.

La première tournée aujourd’hui se fait en direction de la frontière néerlandaise à Kamp-Lintfort, où Marcel, que ses collègues appellent « Kumpel » (mon pote), charge 28 tonnes de sable du Rhin. Il l’achemine vers une centrale à béton dans l’est de la Ruhr. De là, il repart vers le Sauerland pour obtenir du calcaire dans une carrière. Celui-ci est ensuite acheminé vers un chantier à Essen. En une journée de travail, il fait deux fois cette tournée.


Marcel, dit « Kumpel » pour les amis, est resté sage dans la décoration de la cabine BigSpace L, son poste de travail.
Marcel, dit « Kumpel » pour les amis, est resté sage dans la décoration de la cabine BigSpace L, son poste de travail.
Marcel, dit « Kumpel » pour les amis, est resté sage dans la décoration de la cabine BigSpace L, son poste de travail.
Marcel, dit « Kumpel » pour les amis, est resté sage dans la décoration de la cabine BigSpace L, son poste de travail.
Marcel, dit « Kumpel » pour les amis, est resté sage dans la décoration de la cabine BigSpace L, son poste de travail.
Marcel, dit « Kumpel » pour les amis, est resté sage dans la décoration de la cabine BigSpace L, son poste de travail.
Marcel, dit « Kumpel » pour les amis, est resté sage dans la décoration de la cabine BigSpace L, son poste de travail.
Marcel, dit « Kumpel » pour les amis, est resté sage dans la décoration de la cabine BigSpace L, son poste de travail.
Marcel, dit « Kumpel » pour les amis, est resté sage dans la décoration de la cabine BigSpace L, son poste de travail.
Marcel, dit « Kumpel » pour les amis, est resté sage dans la décoration de la cabine BigSpace L, son poste de travail.
Marcel, dit « Kumpel » pour les amis, est resté sage dans la décoration de la cabine BigSpace L, son poste de travail.
Marcel, dit « Kumpel » pour les amis, est resté sage dans la décoration de la cabine BigSpace L, son poste de travail.

L’Actros 1851 de Marcel est également un camion qui se distingue au sein de la très bonne flotte Sauerbaum. Si son moteur compte parmi les plus puissants, le reste de l’équipement ne laisse pas non plus une grande marge d’amélioration. Marcel et le gestionnaire de la flotte Timo Sauerbaum, lui aussi fou de camions, ont travaillé ensemble au design du véhicule. Le fruit de leur collaboration ne passe pas inaperçu : l’Actros arbore fièrement son titre : « Ruhrpott-Edition ». Plusieurs symboles associés au thème ornent le camion entièrement vert opale, équipé d’une rampe de phares de toit et d’autres accessoires du plus bel effet. La semi-remorque à benne basculante présente ainsi les bâtiments les plus célèbres d’Essen, dont la mine de Zollverein et la Grugahalle.

Une forte identification à la ville d’origine.

« Le camion exprime notre attachement à la ville d’Essen », témoigne Timo Sauerbaum, qui est allé personnellement prendre possession du camion à Wörth. « C’est un camion très particulier au sein de notre flotte. »

L’entreprise achète cinq à six camions neufs chaque année. La plupart sont différents : Actros ou Arocs, transmission intégrale ou non, rétroviseurs ou MirrorCam. « Depuis deux ans, nous n’achetons aucun camion sans assistant de changement de direction », garantit Timo Sauerbaum. « Le système soulage nos chauffeurs non seulement dans la circulation en agglomération, mais aussi en cas de changement de file sur l’autoroute.


Début de la tournée : Marcel se dirige vers sa première destination de la journée. Il prend la direction de Sandholen au-delà du Rhin par l’autoroute.
Début de la tournée : Marcel se dirige vers sa première destination de la journée. Il prend la direction de Sandholen au-delà du Rhin par l’autoroute.
Début de la tournée : Marcel se dirige vers sa première destination de la journée. Il prend la direction de Sandholen au-delà du Rhin par l’autoroute.
Début de la tournée : Marcel se dirige vers sa première destination de la journée. Il prend la direction de Sandholen au-delà du Rhin par l’autoroute.
Début de la tournée : Marcel se dirige vers sa première destination de la journée. Il prend la direction de Sandholen au-delà du Rhin par l’autoroute.
Début de la tournée : Marcel se dirige vers sa première destination de la journée. Il prend la direction de Sandholen au-delà du Rhin par l’autoroute.
Début de la tournée : Marcel se dirige vers sa première destination de la journée. Il prend la direction de Sandholen au-delà du Rhin par l’autoroute.
Début de la tournée : Marcel se dirige vers sa première destination de la journée. Il prend la direction de Sandholen au-delà du Rhin par l’autoroute.
Début de la tournée : Marcel se dirige vers sa première destination de la journée. Il prend la direction de Sandholen au-delà du Rhin par l’autoroute.
Début de la tournée : Marcel se dirige vers sa première destination de la journée. Il prend la direction de Sandholen au-delà du Rhin par l’autoroute.
Début de la tournée : Marcel se dirige vers sa première destination de la journée. Il prend la direction de Sandholen au-delà du Rhin par l’autoroute.
Début de la tournée : Marcel se dirige vers sa première destination de la journée. Il prend la direction de Sandholen au-delà du Rhin par l’autoroute.
Début de la tournée : Marcel se dirige vers sa première destination de la journée. Il prend la direction de Sandholen au-delà du Rhin par l’autoroute.
Début de la tournée : Marcel se dirige vers sa première destination de la journée. Il prend la direction de Sandholen au-delà du Rhin par l’autoroute.

Toujours plus confortable.

Marcel roule sur l’autoroute direction Sauerland. Quel est son ressenti concernant le nouvel Actros 1851 ? « J’ai déjà roulé avec le prédécesseur, dans sa version 1846 », explique Marcel. En cabine, le Multimedia Cockpit lui plait particulièrement. « C’est moderne et clair », dit-il, en montrant l’écran principal pour lequel il a choisi le visuel « Advanced ».

Marcel a maintenant quitté l’autoroute pour la route nationale qui le mène dans le Sauerland. Un pont, une zone résidentielle et, soudain, des montagnes de calcaire et un énorme site d’extraction se dressent devant le pare-brise. « Il y en a tellement ici qu’on pourrait penser que la carrière fournit le calcaire pour la moitié des routes de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie », dit Marcel. Le chemin jusqu’à la carrière ne pose aucun problème au tracteur-remorque. Pour Marcel aussi, le passage de la route à la conduite plus exigeante en terrain non asphalté est plutôt un plaisir – pendant son temps libre, il aime faire du tout-terrain à l’occasion. La chargeuse verse trois pelletées de calcaire dans la benne. Marcel regarde l’horloge. L’heure est venue de repartir. Direction Essen.



Photos : Sebastian Vollmert
Vidéo : PRH

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