Les tout-terrain de Mercedes-Benz dans le désert

Panorama

Les maîtres du désert.

Chaleur vacillante, sable rouge à perte de vue jusqu'à l'horizon d'où se détachent les pics en dents de scie de massifs montagneux. Il n'existe sans doute pas d'endroit offrant des conditions mieux adaptées pour tester à fond les capacités de véhicules tout-terrain.

Il fallait oser. L'aventure semble hasardeuse, il s'en sort pourtant parfaitement : un Actros de troisième génération à benne basculante franchissant une dune.
Il fallait oser. L'aventure semble hasardeuse, il s'en sort pourtant parfaitement : un Actros de troisième génération à benne basculante franchissant une dune.
Il fallait oser. L'aventure semble hasardeuse, il s'en sort pourtant parfaitement : un Actros de troisième génération à benne basculante franchissant une dune.
Il fallait oser. L'aventure semble hasardeuse, il s'en sort pourtant parfaitement : un Actros de troisième génération à benne basculante franchissant une dune.
Il fallait oser. L'aventure semble hasardeuse, il s'en sort pourtant parfaitement : un Actros de troisième génération à benne basculante franchissant une dune.
Il fallait oser. L'aventure semble hasardeuse, il s'en sort pourtant parfaitement : un Actros de troisième génération à benne basculante franchissant une dune.

Mercedes-Benz a relevé le défi et envoyé toute sa gamme de véhicules tout-terrain performants se frotter aux difficultés du désert des Émirats Arabes Unis. De la Classe G 4×4 au lourd et robuste Actros 8×8. Tout a été enregistré et mis en scène dans un film de quatre minutes dont les images sont à couper le souffle.



Côte à côte, les artistes du désert entrent dans l'espace « Arena », avant de se séparer pour que chacun puisse démontrer dans le détail ce dont chacun est capable. On voit ainsi l'Actros à benne basculante grimper sans broncher une dune de sable. Au sommet, la cabine semble flotter dans l'air pendant une fraction de seconde, puis le camion bascule et replonge dans le sable pour revenir dans la plaine sans une égratignure. Les limites de la technique ? Invisibles, comme aspirées par le sable.


Photos : Daimler
Vidéo : Leithaus

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